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Hourra
5 février 2006

Lui

est parti un jour, sans décrocher son téléphone. A filé droit devant lui, de Normandie jusqu'en Espagne. Arrivé là, et sans savoir spécialement pourquoi, il a repris son souffle et envoyé un SMS à sa femme, qui appelait depuis quatre jours.

Est revenu. Tu le découvres derrière la vitre, assis au milieu de trois auters patients. Il porte un T-shirt blanc, et un panatlon bleu, qui font que tu croi stout d'abord qu'il travaille ici. Et tu entres, et il te reconnait, et il te sourit, et tu lui souris aussi.

Il vous emmène dans un petit salon de visite. Il porte des chaussons en mauvais état. Il semble heureux de vous voir. Il admire sa famille d'avoir résisté psychologiquement. Il dit que le marché où son entreprise s'effondre. Qu'il fera autre chose.

Il est venu volontairement. Il est heureux d'avoir évité de faire une connerie.

Il parle des patients autour de lui, celui qui parle à la vierge, celui qui veut toujours se battre. Il en rit. Sortira à la fin de la semaine. Dit que vous devrez passer un jour.

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